Il existe un commandement commun à toutes les fêtes juives qui consiste à se réjouir et à réjouir le cœur des pauvres et des opprimés. Le Rambam écrit que « celui qui ferme les portes de sa maison et mange seul avec sa famille sans se soucier des démunis, n’aura pas accompli ce commandement ».

Il y a parmi mes élèves plus de 70 familles qui vivent dans une grande pauvreté.

Si nous ne faisons rien, ces familles n'auront pas le minimum nécessaire pour passer les fêtes de Pessah dans la joie. La Torah dans Dévarim 15,7 nous avertit : «…tu n'endurciras pas ton cœur, tu ne fermeras ta main à ton frère nécessiteux. »

A une semaine de PessaH, je me tourne vers vous, dans l'urgence, pour pouvoir aider ces 76 familles nécessiteuses.

Nous ne pouvons pas les abandonner. Chaque don compte et nous ne pouvons pas nous défausser.